• Bonjour

    rdv le 02 juillet 2015 pour encadrer nos enfants au parc de la mairie pour 9.00h

    tennis foot courses au rdv

    a bientôt

     


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  • Mesdames, Messieurs,

     

    Il n’est pas rare qu'un président d’association de parent d’élèves, prenant part à l'interminable débat sur l'école, s'adresse directement aux parents.
    Mais vu le contexte actuel, la situation de notre association APEIM est en péril, en effet lors de notre assemblée du 23 Juin 2015, le peux de personnes présentes, me fait penser que nos actions menées depuis la rentrée 2014-2015 n'a pas eu l effet escompter.
    Pour poursuivre notre missions, j'ai besoin de votre soutien pour être le plus représentatif . Soutient comme adhérent ; représentant ; et membres actifs.
    Il est évident que nos moyens sont limités, mais je reste persuadé que la volonté peu nous permettre de réaliser de belle choses pour nos enfants.
    Pour la rentré 2015-2016 nous devons constitué un nouveau bureau pour continuer nos actions, mais seul je ne pourrais continuer.
    Merci à vous de faire passer ce message auprès des parents étant membres de l'APEIM j'ai besoins de vous.
    Ce texte résume notre action :
    Le plus souvent, la communication sur ce sujet procède de deux attitudes qui la maintiennent en vase clos.

     

    • Le corporatisme, d'abord : les profs n'aiment pas qu'on se mêle de leurs affaires - même si les affaires en question sont...les vôtres, au premier chef.

    • La démagogie, ensuite: il arrive que tel ou tel ministre de (la réforme de) l'éducation nationale vous associe - ou, pire, vos enfants - à ses initiatives, en multipliant les consultations et autres carrefours participatifs, tout en sachant que le schmilblick n'en sera point avancé pour autant, car, comme le disait Pierre Dac, «le schmilblick ne sert absolument à rien, il peut donc servir à tout, car il est rigoureusement intégral».

     

     

     

    En réalité, cette mise à l'écart n'est pas très grave. Je conçois qu'elle vous agace, surtout si vous payez des impôts et craignez - avec raison - qu'ils soient en partie gaspillés. Mais l'enjeu essentiel de l'éducation est ailleurs, vous le savez bien. N'oubliez pas, à l'heure où s'ouvre une nouvelle année scolaire, qu'avant d'être des parents d'élèves, vous êtes des parents d'enfants. Mieux, même: les parents de vos enfants. Autrement dit, la part qui vous revient dans la réussite scolaire de ces derniers est cruciale. Elle dépasse très largement le cadre de l'école.

     

     

     

    Ou plutôt, elle dépasse le cadre de l'éducation nationale. Car école et éducation nationale ne sont pas des synonymes. L'école recouvre un champ très vaste, celui du savoir, du savoir-être, du savoir-faire, du faire savoir et du faire faire. L'éducation nationale, elle, désigne l'ensemble des institutions affectées à la transmission, au perfectionnement et à l'élargissement du savoir et des savoir-faire. L'école vise deux fins: la noblesse et l'efficacité de l'existence; tandis que l'éducation nationale a pour seul objet l'efficacité de l'existence.

     

    Soyons clairs: la mission première de l'éducation nationale n'est pas de «servir l'esprit» mais de permettre aux enfants de trouver, une fois adultes, les moyens de subvenir à leurs besoins fondamentaux: se nourrir, se vêtir, s'abriter, se divertir, se défendre, se créer un réseau de relations, s'estimer soi-même, etc...

     

    En somme, si vos enfants sont confiés à l'éducation nationale, ils sont d'abord et avant tout à votre école - au sens où l'on dit de quelqu'un qu'il a été à bonne (ou à mauvaise) école. Allons même plus loin: ils s'épanouiront d'autant mieux dans le cadre de l'éducation nationale qu'ils auront cultivé, à votre école, certaines dispositions intellectuelles, psychologiques et mentales. Comment et lesquelles?

     

     

     

    Inutile de s'embarrasser de mille résolutions - l'ardeur des étés indiens ne résiste pas longtemps aux premières pluies de la Toussaint... Restez réalistes. Pour rendre vos enfants plus efficaces tout au long de l'année, appliquez, sous une forme un peu détournée, le conseil de Saint Augustin à ses disciples : «Aime et fais ce que tu veux». Pour vos enfants, cela devient: «Travaille et fais ce que tu veux.»

     

     

     

    Que veut dire «travailler», pour un enfant ou un adolescent? En premier lieu, un impératif simple: exécuter à la lettre ce que demande le professeur, c'est-à-dire écouter en classe, apprendre ses leçons, faire ses exercices, réviser pour les contrôles. Ni plus, ni moins. C'est la règle. Et, comme disaient les moines d'autrefois: «La règle, rien que la règle, mais toute la règle.»

     

     

     

    Ensuite, de l'ordre. L'ordre n'exclut pas le nombre. On peut faire des tas de choses, et les faire bien. De même qu'il y a une case «Sommeil», une case «Divertissement», une case «Copains/Copines», une case «Facebook», une case «Repas», une case «Douche», il est indispensable qu'il y ait une case «Travail scolaire».

     

     

     

    En outre, travailler signifie cultiver ses dons et ses passions. Le moment venu, ils pourront constituer une perspective d'orientation professionnelle. C'est en particulier valable pour tous ces jeunes qui s'adaptent difficilement au système scolaire classique. Très souvent, leur secours vient de leurs centres d'intérêt. Votre fils passe tout son temps libre devant son ordinateur? Invitez-le à découvrir les métiers de l'informatique, qui sont si variés. Votre fille est une fashion-victim? Encouragez-la à devenir styliste, attachée de presse, vendeuse de mode, couturière... En suivant leurs rêves, les jeunes acquièrent un savoir en vue d'un savoir-faire, démarche mille fois plus motivante - et donc plus efficace - que l'absorption du savoir à l'état pur.

     

     

     

    Enfin, conseillez à vos enfants de vivre avec leur temps: l'époque n'est plus au bling-bling, mais au «modeste chic» prôné par Karl Lagerfeld. Mille ans avant lui, Hugues de Saint-Victor l'expliquait déjà, dans son De Studio Legendi : «Le bon étudiant devra donc être humble, doux, loin des désirs de la vanité et des apparats de la volupté, diligent, soucieux d'apprendre à étudier une question à fond avant de juger.» L'humilité, voilà la vertu à honorer en ce début d'année. Elle disposera l'élève à l'émerveillement devant le savoir et permettra ainsi au professeur...d'avoir la paix en classe!

     

    Matthieu Grimpret
    Denis Bermudez
    Président de L'APEIM

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  • BONJOUR

    le rendez vous est pris a suivre l ordre du jour

    merci


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  • J’ai l’honneur de vous inviter à participer au troisième Conseil d’Ecole de

    l’année scolaire 2014/2015 qui aura lieu :

    Le vendredi 19 juin 2015, à 17h30 à l’école Maternelle

    Les points suivants seront à l’ordre du jour :

     Prévisions d’effectifs pour la rentrée 2015/2016.

     La mise en place d’actions pour aider les élèves en difficulté (APC ,

    RASED…).

     Les symboles de la République à l’école.

     Bilan des projets de l’école et des sorties.

     Bilan de l’exercice PPMS (Plan Particulier de Mise en Sûreté).

     Coopérative de l’école.

     Les manifestations avec l’APEIM.

     Organisation de la fête de fin d’année (caisse des écoles).

     Les petits travaux sur l’école.

    Comptant sur votre présence, veuillez agréer, Mesdames, Messieurs,

    l’expression de mes salutations respectueuses.


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  • Olympiade 2015

    Les olympiades auront lieux le 02 juillet 2015 sur toute la journée

    merci de votre soutient sur cette journée ou nous avons impliquées 250 enfants

    cordialement


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  • Madame Monsieur

    Rendez vous pour l'assemblée 2015 le Mardi 23 Juin a 20.00h pour l'élection du nouveau bureau

    merci de votre présence

    Denis Bermudez


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